Université Utopia : réunion prépa 02
Description
Réunion 02 de préparation de l'Université Utopia 2023 à Sète
Pour les membres de l'archipel des confluences qui souhaitent faire des propositions vous pouvez le faire dans le cadre de l'espace "activités" de Terra
Comment passer des colères légitimes à des politiques émancipatrices ?
Face aux bouleversements climatiques, démocratiques et sociaux, contribuer à la mise
en place d’une alliance et une stratégie coordonnées entre les acteurs de la société civile, privés et institutionnels, du monde politique ainsi que les mouvements activistes.
Comment passer des colères légitimes à des politiques émancipatrices ?
Contexte général
Les années 2022 et 23 ont été marquées par deux éléments de nature différente :
- D’une part une accélération visible du dérèglement climatique et par conséquence une prise de conscience de plus en plus forte dans un large public des dangers qu’il représente.
- D’autre part, face aux crises sociales et démocratiques, une montée des replis identitaires un peu partout dans le monde, qu’ils soient nationaux, religieux ou communautaristes, entraînant non des politiques d’émancipation, mais au contraire la montée des régimes autoritaires et/ou d’extrême-droite. L’Europe n’y échappe pas et la France en est menacée dès à présent.
Propositions
Face à ces constats, quelle peut être la contribution d’Utopia et de ses partenaires dans le cadre de son UE ?
1. Sur le premier point, plutôt que de continuer à documenter des faits qui le sont déjà amplement, la réflexion devrait se porter sur le « que faire ?».
Pour cela, il serait fécond de faire dialoguer des représentants des mouvements ayant adopté l’activisme climatique avec des spécialistes axés sur l’analyse et les préconisations, ainsi que des représentants de partis politiques. Cette approche très trans-générationnelle devrait se compléter avec la présentation d’expérimentations concrètes d’acteurs de la société politique et civile, comme des Maires.
Reste à définir sous quelles formes, car on ne peut pas se contenter uniquement de tables rondes ou d’ateliers classiques.
2. Sur le deuxième point, il faut partir de ce qui a alimenté la montée de ces replis identitaires, qu’ils soient nationaux, religieux ou corporatistes, à savoir les colères.
Elles sont très diverses, car exprimées aussi bien par les masculinistes supporters de Trump, Borsolaro…, l’extrême-droite europenne face aux migrants, mais aussi à l’opposé les féministes avec me-too, les anciens colonisés devant le déni, les classes moyennes occidentales et plus largement les couches populaires face à leur appauvrissement, au recul des services sociaux et la confiscation démocratique par des « élites », les écologistes face à l’inaction…
En France, ces colères se sont exprimées lors des gilets jaunes, des lois travail et la réforme des retraites, face aux violences policières et de la récente criminalisation des mouvements écologistes.
Comment se fait-il que la plupart de ces colères, souvent le résultat de politiques ultra- libérales, profitent aux partis autoritaires, eux-mêmes économiquement ultra-libéraux et peu démocratiques, dont d’ailleurs certains se sont métamorphosés ? Il faut donc comprendre pourquoi et par quels moyens, afin d’être capable de réorienter ces colères en direction de politiques émancipatrices. Vaste programme…
Pour mieux comprendre la montée de l’extrême droite dans le monde, nous pourrions inviter, des spécialistes comme Guiliano da Empoli (Les ingénieurs du chaos), Christian Salmon (La tyrannie des bouffons) Erwan Lecoeur…. Certains convivialistes pourraient également intervenir.
Et là aussi nous pourrions faire dialoguer des mouvements exprimant des colères que nous considérons comme légitimes mais isolées : féministes, écologistes, jeunes des quartiers populaires, avec des sociologues et des représentants de partis politiques ainsi que des acteurs politiques comme les Maires ruraux et des représentants associatifs.
3-Pour le mouvement Utopia,
en dehors des points habituels sur la vie du Mouvement, la sortie du nouveau Manifeste et les intermèdes culturels, nous devons continuer à avancer sur le livre Culture de la paix ainsi que sur la réactualisation des livres Agriculture et alimentation et Énergie (ex Nucléaire).
4. En ce qui concerne les convivialistes et l’Archipel des confluences,
outre la participation des certains d’entre eux aux débats précédents, il faudrait bien sûr leur demander leurs souhaits…
5. Pour élaborer le programme de cette UE,
nous pourrions reprendre ce qui a bien fonctionné l’an passé : un point zoom d’une à deux heures tous les 15 jours de fin juillet à début septembre, avec échange de mails entre les deux.
Participants possibles : Alain, Patrick, Thierry, Pierre-Alain, Franck, Laure, Pierre et Denis.
Ce ne sont bien sûr que des propositions- dont certaines ne seront peut-être pas possibles à réaliser- à débattre lors de notre premier échange.
Réunion 25 juillet – 16h
Patrick V
Pierre-Alain C
Julie Chabaud
Denis Vicherat
Franck
Alain Caillé
Thierry Salomon
1er tour > PV - Il me semble que nous pourrions aider non seulement sur chacun des deux volets proposés mais aussi sur leur articulation dans une stratégie globale.
Sur le premier volet que l'on pourrait caractériser comme "un bon usage" des nouvelles formes d'activisme (type Soulèvement de la terre") il s’agirait de dire chiche à des formes de désobéissance civile intégrant des actions illégales mais avec une vigilance redoublée sur le discernement concernant ces actions afin d'éviter leur possible contre productivité et d'en faire des objets de débat démocratique.
Sur le second (stratégies d'émancipation) il faut intégrer les échéances électorales comme des moments certes importants mais non exclusifs d'une stratégie globale intégrant la dimension mondiale et européenne et la perspective de la métamorphose très humaine appliquée autant aux fins qu'aux moyens utilisés y compris en termes de désobéissance civile (lien premier volet)
Terra en logique de services
Alain – Question place du mouvement convivialiste. Sera grand père sur la période. Découragé car tout se casse un peu la figure. Je fatigue. Envisage un manifeste n°3 car hors des clous / urgences > peut être à Sète.
Thierry – Archipel des confluences – J’en ai marre des constats, on augmente la déprime, la question de l’éco-anxiété. Par ex sur l’eau : On nous demande si on est anxieux alors qu’il y a des solutions. Un vrai travail sur les solutions. On l’a fait sur négawatt, des scénarios negawatt, sur l’eau, sur l’alimentation > on a des solutions qui sont crédibles et sur lesquels on va aujourd’hui. Anxiété très importante qui peut aller à la panique alors qu’il y a des solutions. Le monde industriel et de l’entreprise vont plus vite qu’on ne l’imagine, il n’y a pas que du greenwashing. Vitesse de changement peut être considérable. Voir le projet de Bastien / changement d’échelle > aller plutôt là-dessus que sur les colères. Sur l’archipel des confluences : travail pirogue Europe / penser les prochaines élections, de quelle Europe le monde a besoin + travail autour de Terra. Dans les deux cas, c’est une question de recherche de solution.
PA : approche de la transfo. Colère comme énergie. Questions des alliances / réalités et réussites de la transfo. Transformer la colère en chemin. Articuler avec des formes de mise en dialogue + forme d’animation. Important de faire le lien avec l’UE 2022. Privilégier le RETEX.
Alain : du côté des convivialistes rencontre en mars avec philo asiatiques. + usage convivialisme au Brésil. Urgences de plus en plus fréquentes mais nous sommes faibles, on ne pèse rien. On n’est pas à la hauteur des problèmes. Réactualiser le manifeste avec le retour des anciens empires et le retour de l’extrême droite. On n’a pas les moyens. Nous ne sommes pas en relation entre nous avec l’archipel des confluences. Pb d’articulation avec un ensemble d’actions pratiques. Travailler sur des liens organiques avec Bastien. J’aimerais une esquisse de liens entre les courants que nous représentons.
Franck : les positions nous traversent tous, je suis triste et désespéré / extinction de l’humanité. Devoir d’essayer de faire des choses. On ne part pas de rien. Dans l’idéal, une stratégie globale entre les différentes organisations. Viser une fédération de l’ensemble des think tank. Besoin de coordination entre nous. Esquisser ces espaces là. Comment on matérialise ces alliances dans des actions communes. Déception / maires ruraux.
S’appuyer sur ce qu’on a déjà fait. Fédérer, coordonner, stratégiser et répartition des rôles. Esquisser un début de stratégie globale. Chacun sous sa banderole.
Denis, faire se rencontrer des acteurs qui ne se rencontrent pas.
/ convivialisme : atelier manifeste 3
+ confrontation et dialogue sur les 2 manifestes (conv et utopia). + / Bastien, quelque chose à présenter. Montrer ce qui a été fait sur l’archipel des confluences.
PA : se mettre d’accord sur la sortie, on sortirait avec quoi. Frein principal : nos ressources. Question du lien avec les institutions. Travail de carto de Terra.
Poursuivre la question de l’expérience à partager. Question des controverses. Plein de ressources. Des livrables qui a la fin dégage une stratégie.
Archipel des confluences : logique de service. Ex : initiative de Bastien. + dynamique autour du CTC (manque de stratégie). Ce qui se retrouve au niveau national en interasso, ne se retrouve pas au niveau local. Faire avec les institutions qui ont des ress, des salariés qui ont besoin de sens… Projet mégalodeste.
PV : se mettre au service. Poser l’UE comme un moment, qui donne à voir ce qui s’est passé avant ailleurs (productions, scénarios, actions, rencontres avec éléments de convergence et points aveugles) et ce qui vient.
On y a va ensemble
On a chacun besoin de temps racines
Reste à définir le bon fil > définir la stratégie.
Définir le contenu concret pour la prochaine fois.
Des réu zoom tous les 15 jours
Camille Etienne, banlieue climat, Lena lazar soulvt de la terre, conf paysanne, Bruno Villalba, Juliano Pori (les ingénieurs du chaos), Christian Salmon (la tyrannie des bouffons). Alliance du faire et du sens.
Anim : conférence inversée,
Imaginer pour le labo furtif : qui pourrait participer aux thématiques principales
PV chemin faisant > travail sur les réseaux activistes. Pierre Vuarin, univ terre citoyenne, Jean Fabre, ancien dir adj des nations unies, Genevieve Ancel coordinatrice des Dialogues en humanité
Ne pas oublier des personnes qui sont venues l’année dernière. Capitaliser sur la venue de personnes l’année dernière : ex Laetitia coordinatrice de colibris.
/ au politique : attention à ne pas jouer la personnalisation / présidentielle, logique d’équipe. Julien Noe (Enercoop) penser les élections législatives avant de penser les présidentielles. Clémentine Autain. Aurélie Trouvé, parlement de la Nupes, au point mort, « mélenchonnisée ». Najat Vallaud Belkacem. Marine Tondelier. Christophe Fourel. Johanna Roland. Chloé Ridel. Plutôt inscrire le rapport au politique en perspective d’un autre calendrier. Post européennes… Trop tôt… Viser politique sur les territoires.
Inviter d’ex députés européens, ex : Glucksman ; Marie Toussaint
Controverses de la transition : renouvelables et biodiv. Radicalité dans l’opposition. Besoin d’éléments de bonne appréciation démocratique en situation d’urgence.
Manque d’analyse.
Thierry : besoin de solutions à l’échelle maire de Montpellier Delafosse
Jean F Caron
Un philosophe sur la question du temps.
Note prtaique : Pas de prise en charge des frais
Pour les membres de l'archipel des confluences qui souhaitent faire des propositions vous pouvez le faire dans le cadre de l'espace "activités" de Terra
Note d'intention d'Utopia
Pistes pour l’UE Utopia 2023Comment passer des colères légitimes à des politiques émancipatrices ?
Face aux bouleversements climatiques, démocratiques et sociaux, contribuer à la mise
en place d’une alliance et une stratégie coordonnées entre les acteurs de la société civile, privés et institutionnels, du monde politique ainsi que les mouvements activistes.
Comment passer des colères légitimes à des politiques émancipatrices ?
Contexte général
Les années 2022 et 23 ont été marquées par deux éléments de nature différente :
- D’une part une accélération visible du dérèglement climatique et par conséquence une prise de conscience de plus en plus forte dans un large public des dangers qu’il représente.
- D’autre part, face aux crises sociales et démocratiques, une montée des replis identitaires un peu partout dans le monde, qu’ils soient nationaux, religieux ou communautaristes, entraînant non des politiques d’émancipation, mais au contraire la montée des régimes autoritaires et/ou d’extrême-droite. L’Europe n’y échappe pas et la France en est menacée dès à présent.
Propositions
Face à ces constats, quelle peut être la contribution d’Utopia et de ses partenaires dans le cadre de son UE ?
1. Sur le premier point, plutôt que de continuer à documenter des faits qui le sont déjà amplement, la réflexion devrait se porter sur le « que faire ?».
Pour cela, il serait fécond de faire dialoguer des représentants des mouvements ayant adopté l’activisme climatique avec des spécialistes axés sur l’analyse et les préconisations, ainsi que des représentants de partis politiques. Cette approche très trans-générationnelle devrait se compléter avec la présentation d’expérimentations concrètes d’acteurs de la société politique et civile, comme des Maires.
Reste à définir sous quelles formes, car on ne peut pas se contenter uniquement de tables rondes ou d’ateliers classiques.
2. Sur le deuxième point, il faut partir de ce qui a alimenté la montée de ces replis identitaires, qu’ils soient nationaux, religieux ou corporatistes, à savoir les colères.
Elles sont très diverses, car exprimées aussi bien par les masculinistes supporters de Trump, Borsolaro…, l’extrême-droite europenne face aux migrants, mais aussi à l’opposé les féministes avec me-too, les anciens colonisés devant le déni, les classes moyennes occidentales et plus largement les couches populaires face à leur appauvrissement, au recul des services sociaux et la confiscation démocratique par des « élites », les écologistes face à l’inaction…
En France, ces colères se sont exprimées lors des gilets jaunes, des lois travail et la réforme des retraites, face aux violences policières et de la récente criminalisation des mouvements écologistes.
Comment se fait-il que la plupart de ces colères, souvent le résultat de politiques ultra- libérales, profitent aux partis autoritaires, eux-mêmes économiquement ultra-libéraux et peu démocratiques, dont d’ailleurs certains se sont métamorphosés ? Il faut donc comprendre pourquoi et par quels moyens, afin d’être capable de réorienter ces colères en direction de politiques émancipatrices. Vaste programme…
Pour mieux comprendre la montée de l’extrême droite dans le monde, nous pourrions inviter, des spécialistes comme Guiliano da Empoli (Les ingénieurs du chaos), Christian Salmon (La tyrannie des bouffons) Erwan Lecoeur…. Certains convivialistes pourraient également intervenir.
Et là aussi nous pourrions faire dialoguer des mouvements exprimant des colères que nous considérons comme légitimes mais isolées : féministes, écologistes, jeunes des quartiers populaires, avec des sociologues et des représentants de partis politiques ainsi que des acteurs politiques comme les Maires ruraux et des représentants associatifs.
3-Pour le mouvement Utopia,
en dehors des points habituels sur la vie du Mouvement, la sortie du nouveau Manifeste et les intermèdes culturels, nous devons continuer à avancer sur le livre Culture de la paix ainsi que sur la réactualisation des livres Agriculture et alimentation et Énergie (ex Nucléaire).
4. En ce qui concerne les convivialistes et l’Archipel des confluences,
outre la participation des certains d’entre eux aux débats précédents, il faudrait bien sûr leur demander leurs souhaits…
5. Pour élaborer le programme de cette UE,
nous pourrions reprendre ce qui a bien fonctionné l’an passé : un point zoom d’une à deux heures tous les 15 jours de fin juillet à début septembre, avec échange de mails entre les deux.
Participants possibles : Alain, Patrick, Thierry, Pierre-Alain, Franck, Laure, Pierre et Denis.
Ce ne sont bien sûr que des propositions- dont certaines ne seront peut-être pas possibles à réaliser- à débattre lors de notre premier échange.
Notes réunion précédentes prises par JC et corrigées par PV
Réunion 25 juillet – 16h
Patrick V
Pierre-Alain C
Julie Chabaud
Denis Vicherat
Franck
Alain Caillé
Thierry Salomon
1er tour > PV - Il me semble que nous pourrions aider non seulement sur chacun des deux volets proposés mais aussi sur leur articulation dans une stratégie globale.
Sur le premier volet que l'on pourrait caractériser comme "un bon usage" des nouvelles formes d'activisme (type Soulèvement de la terre") il s’agirait de dire chiche à des formes de désobéissance civile intégrant des actions illégales mais avec une vigilance redoublée sur le discernement concernant ces actions afin d'éviter leur possible contre productivité et d'en faire des objets de débat démocratique.
Sur le second (stratégies d'émancipation) il faut intégrer les échéances électorales comme des moments certes importants mais non exclusifs d'une stratégie globale intégrant la dimension mondiale et européenne et la perspective de la métamorphose très humaine appliquée autant aux fins qu'aux moyens utilisés y compris en termes de désobéissance civile (lien premier volet)
Terra en logique de services
Alain – Question place du mouvement convivialiste. Sera grand père sur la période. Découragé car tout se casse un peu la figure. Je fatigue. Envisage un manifeste n°3 car hors des clous / urgences > peut être à Sète.
Thierry – Archipel des confluences – J’en ai marre des constats, on augmente la déprime, la question de l’éco-anxiété. Par ex sur l’eau : On nous demande si on est anxieux alors qu’il y a des solutions. Un vrai travail sur les solutions. On l’a fait sur négawatt, des scénarios negawatt, sur l’eau, sur l’alimentation > on a des solutions qui sont crédibles et sur lesquels on va aujourd’hui. Anxiété très importante qui peut aller à la panique alors qu’il y a des solutions. Le monde industriel et de l’entreprise vont plus vite qu’on ne l’imagine, il n’y a pas que du greenwashing. Vitesse de changement peut être considérable. Voir le projet de Bastien / changement d’échelle > aller plutôt là-dessus que sur les colères. Sur l’archipel des confluences : travail pirogue Europe / penser les prochaines élections, de quelle Europe le monde a besoin + travail autour de Terra. Dans les deux cas, c’est une question de recherche de solution.
PA : approche de la transfo. Colère comme énergie. Questions des alliances / réalités et réussites de la transfo. Transformer la colère en chemin. Articuler avec des formes de mise en dialogue + forme d’animation. Important de faire le lien avec l’UE 2022. Privilégier le RETEX.
Alain : du côté des convivialistes rencontre en mars avec philo asiatiques. + usage convivialisme au Brésil. Urgences de plus en plus fréquentes mais nous sommes faibles, on ne pèse rien. On n’est pas à la hauteur des problèmes. Réactualiser le manifeste avec le retour des anciens empires et le retour de l’extrême droite. On n’a pas les moyens. Nous ne sommes pas en relation entre nous avec l’archipel des confluences. Pb d’articulation avec un ensemble d’actions pratiques. Travailler sur des liens organiques avec Bastien. J’aimerais une esquisse de liens entre les courants que nous représentons.
Franck : les positions nous traversent tous, je suis triste et désespéré / extinction de l’humanité. Devoir d’essayer de faire des choses. On ne part pas de rien. Dans l’idéal, une stratégie globale entre les différentes organisations. Viser une fédération de l’ensemble des think tank. Besoin de coordination entre nous. Esquisser ces espaces là. Comment on matérialise ces alliances dans des actions communes. Déception / maires ruraux.
S’appuyer sur ce qu’on a déjà fait. Fédérer, coordonner, stratégiser et répartition des rôles. Esquisser un début de stratégie globale. Chacun sous sa banderole.
Denis, faire se rencontrer des acteurs qui ne se rencontrent pas.
/ convivialisme : atelier manifeste 3
+ confrontation et dialogue sur les 2 manifestes (conv et utopia). + / Bastien, quelque chose à présenter. Montrer ce qui a été fait sur l’archipel des confluences.
PA : se mettre d’accord sur la sortie, on sortirait avec quoi. Frein principal : nos ressources. Question du lien avec les institutions. Travail de carto de Terra.
Poursuivre la question de l’expérience à partager. Question des controverses. Plein de ressources. Des livrables qui a la fin dégage une stratégie.
Archipel des confluences : logique de service. Ex : initiative de Bastien. + dynamique autour du CTC (manque de stratégie). Ce qui se retrouve au niveau national en interasso, ne se retrouve pas au niveau local. Faire avec les institutions qui ont des ress, des salariés qui ont besoin de sens… Projet mégalodeste.
PV : se mettre au service. Poser l’UE comme un moment, qui donne à voir ce qui s’est passé avant ailleurs (productions, scénarios, actions, rencontres avec éléments de convergence et points aveugles) et ce qui vient.
On y a va ensemble
On a chacun besoin de temps racines
Reste à définir le bon fil > définir la stratégie.
Définir le contenu concret pour la prochaine fois.
Des réu zoom tous les 15 jours
Camille Etienne, banlieue climat, Lena lazar soulvt de la terre, conf paysanne, Bruno Villalba, Juliano Pori (les ingénieurs du chaos), Christian Salmon (la tyrannie des bouffons). Alliance du faire et du sens.
Anim : conférence inversée,
Imaginer pour le labo furtif : qui pourrait participer aux thématiques principales
PV chemin faisant > travail sur les réseaux activistes. Pierre Vuarin, univ terre citoyenne, Jean Fabre, ancien dir adj des nations unies, Genevieve Ancel coordinatrice des Dialogues en humanité
Ne pas oublier des personnes qui sont venues l’année dernière. Capitaliser sur la venue de personnes l’année dernière : ex Laetitia coordinatrice de colibris.
/ au politique : attention à ne pas jouer la personnalisation / présidentielle, logique d’équipe. Julien Noe (Enercoop) penser les élections législatives avant de penser les présidentielles. Clémentine Autain. Aurélie Trouvé, parlement de la Nupes, au point mort, « mélenchonnisée ». Najat Vallaud Belkacem. Marine Tondelier. Christophe Fourel. Johanna Roland. Chloé Ridel. Plutôt inscrire le rapport au politique en perspective d’un autre calendrier. Post européennes… Trop tôt… Viser politique sur les territoires.
Inviter d’ex députés européens, ex : Glucksman ; Marie Toussaint
Controverses de la transition : renouvelables et biodiv. Radicalité dans l’opposition. Besoin d’éléments de bonne appréciation démocratique en situation d’urgence.
Manque d’analyse.
Thierry : besoin de solutions à l’échelle maire de Montpellier Delafosse
Jean F Caron
Un philosophe sur la question du temps.
Note prtaique : Pas de prise en charge des frais
Début de l'événement
01.08.2023 - 19:00
Fin de l'événement
01.08.2023 - 20:00
